Sarkosy par ici, Sarkosy par là. Bien...on en a des renvois !
Le jour où on comprendra que les mandats électifs , quels qu’ils soient, doivent être circonscrits dans le temps et dans le nombre, un ou deux pas plus, alors on vivra dans une vraie démocratie...
Pas dans une République bananière où le mondre mairaillon, le conseiller du canton digue digue dondaine eh bien on voit sa tronche, au sourire commercial, du berceau à la tombe. Et quand ils grimpent ces gensses, ils terminent dans la députaille ou, pour se planquer, dans la sénatoriale.
Pourtant, un conseil, le meilleur plan, c’est l’euro-députaillon, ceux-là vivent en silence,quasiment absent partout( assemblée, bureau, commission) chauffés, bien payés : pas de compte à rendre à la populace.Ils savent plus ce qu’ils votent : des règlements à la mord moi le noeud au km : sur la taille limite du bégonia,le nombre maxi de bébés phoques dans l’océan arctique ou le poids en beurre et en sel dans le gâteau breton...
Tout ce petit monde politicard, de droite comme de gauche, s’entend tel le satrape. Leurs traits de caractère commun : ils ont peu souvent travaillé, ils sont rentrés au parti et ont suivi la ligne, ciré les pompes, faits des grandes déclamations, embrassés les petites vielles et serré le maximum de louches avec le rictus.
Ou s’ils ont travaillé, entre la politique et leur ancien boulot, y a pas photo. Pour rien au monde, ils reviendraient en arrière. C’et de la vraie promotion sociale.Ils restent jusqu’au bout,accrochés comme des morpions, même gâteux et soufreteux.Seuls inconvénients : faut avoir l’échine souple pour les courbettes, un bon foie pour le pinard et un bon estomac pour les couleuvres.
Faudrait les mettre en retraite d’office à 50 piges et au turbin ! Le vrai, celui où y a pas de laquais, de baveux à plat ventre, de donzelles extasiées et excitées, des cohortes de lèches-culs fonctionnarisés.
Puis faut payer dans la vraie vie : l’avion, le train, la bagnole, les restaus, les spectacles,les voyages, les filles à l’occas...La vie de chiottes quoi ! Alors les politicards : au boulot ! et on verra si vous supporterez pendant 40 piges le labeur dans l’anonymat. Pharisiens va !
Bon Maman, à partir de demain, j’arrête le boulot, je rentre en politique...