Je suis choquée par la mort à « coeur arrêté » alors qu’il n’y a pas mort encéphalique. Que l’on arrête la réanimation au bout de trente minutes et que celle-ci soit reprise pour le prélèvement d’organes. On peut au moins attendre que la personne soit vraiment morte, je suis persuadée que s’il n’y a pas la mort cérébrale, la personne en question doit terriblement souffrir.
Qui nous dit que le donneur n’aurait pas pu être réanimé ?
Nous avons fait don de notre corps à la science et là je sais que nous serons vraiment morts.