Son retour brutal au politique est inopérant dans les conditions actuelles.
Ce n’est pas le retour au politique de la gauche, mais le retour déterminé et salutaire d’une partie de la population, le peuple !
Il faut bien un commencement. Et la gauche a suivi. Que n’eu-t-on pas dit si elle était restée sourde à l’appel du peuple : autisme, déconnection, etc. De quoi alimenter le rejet de la classe politique...