Tant que le prélèvement d’organe (au moins un), ne sera pas systématique, il se posera toujours le problème du don d’organe.
La société met tout en place (enfin en principe) pour aider un individu de la naissance à la mort. Quand celle-ci survient, il faudrait qu’il puisse rendre la monnaie de sa pièce à la société, en permettant à celle-ci de « se servir sur la bête ».