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vinvin 11 décembre 2007 01:40

Bonjour.

Merci pour votre excellente article.

Je pense avoir compris les prélévements sur des morts encéphaliques, mais, (en tant que donneur, vu que j’ ai ma carte de donneur,) ce que j’ ai du mal a comprendre c’ est comment on sebase sur la mort, en cas de prélévements a « coeur arrété ».

Si le coeur ne bat plus, mais que le cerveau fonctionne toujour, ne ce pourrait-il pas que le donneur dans son subconscient se rende compte que l’ on est en train de le prélévé, et est ce que cela ne pourrait pas lui occasionner une souffrance psychyque, voir meme physique, vue que la souffrance physique est ressentie et analysée par le cerveau ?

Le corp médical a peut-etre beaucoup de mal aussi a avoir une définition de la mort, et le fondements d’une telle déffinition, qui prouve que le patient est BIEN Mort.

C’ est a ce niveau qu’ il faut bien informer les donneurs.

Je suppose que la plupart des donneurs sont donneur APRES leur mort, et non AVANT, sinon cela porte un autre nom : C’ est dire « donneur de son vivant », et qui soulève un autre problème d’ éthique......

Bien cordialement.

VINVIN.


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