Tout cela me donne une impression d’irréalité étrange, comme un film de science-fiction style « je suis une légende » où l’on voit une télé relayer encore les futilités d’un monde qui n’existe plus. (A ce propos, ce film trahit méchamment le bouquin avec son final waspo-bushien).
Pendant ce temps, nous aurons en 2008 la plus grave crise économique depuis au moins 35 ans, dans un contexte de fracture sociale et de délitement des institutions inégalés. La révolution gronde et la cour s’amuse.