Comment expliquer le transfert précipité des condamnés en France alors même que la peine ne peut être purgée en France du fait de l’illégalité des travaux forcés ?
Et quid des 600 milliond d’euros de dommage intérêts à verser aux victimes ?
Ce procès n’est qu’un simulacre de part et d’autre, du Tchad comme de la France. Il y a manifestement beaucoup de choses qui auraient pu être dites que l’on a voulu cacher.
C’est écoeurant.