La question n’est pas seulement celle de la participation financière des salariés aux bénéfices de l’entreprise (sous quelle que forme que ce soit) mais celle de la participation aux instances de direction des entreprises comme en Allemagne via les conseils de surveillance ; cette dernière participation est , en effet, indissociable de la première, si l’on veut établir des relations de confiance et de coopération (même conflictuelle) que celle-ci suppose
Mais il faut savoir que cela comporte aussi le risque de corruption des représentants des salariés comme on l’a vu chez Mannesman, WV, ect ...Risque contre lequel des structures de contrôle par les salariés doivent être mises en place.
La question principale est celle du pouvoir, car elle commande celle du sens de la responsabilité des salariés et des dirigeants (répondre des décisions prises dans l’intérêt réciproque et différent des acteurs)