Je ne sais pas si l’auteur de ce texte est dans le vrai, mais pour ma part, j’ai de plus en plus le sentiment que la France se comporte comme une vieille aristocrate désargentée à l’influence déclinante, qui rêve de son faste et de sa puissance passée, tout en refusant de se remettre en question : surtout que rien ne change... Se remettre en question ne signifie pas accepter une mondialisation ultra libérale. Si la mondialisation est inéluctable, la mondialisation ultra ou néolibérale ne l’est pas. Comme diraient Jacques Robin ou René Passet : « un autre monde est possible ».