le devoir de mémoire, qui est nécessaire mais qui n’a pas empéché les nettoyages ethniques en ex-yougoslavie, ni le génocide rwandais et autres massacres, doit laisser place à l’enseignement de l’histoire.
sinon, on va voir apparaitre une « concurrence des victimes », ici, on prend en charge une victime de la shoah, donc là on voudra prendre en charge le nom d’une victime de l’esclavage, là le nom d’une victime de la colonisation.
ras le bol de cette dictature de l’émotion et de la victimisation.