@ l’auteur
Entièrement d’accord avec vous sur la nécessité de laisser les questions historiques aux historiens.
On se trouve ici non plus dans le champs, qui tend vers le rationnel, de la recherche historique, de l’explication des faits et de leur transmission éventuelle mais dans le champs, totalement passionnel celui-là, de la mémoire..
Nicolas Sarkozy, depuis son entrée sous les projecteurs, a toujours excellé dans l’exploitation du passionnel, quitte à enclencher des mécanismes (je pense à certaines émeutes qui avaient suivi ses écarts de langage..) de division qu’il sera dans l’incapacité totale de contrôler..
Comme en 2005, Nicolas Sarkozy aurait une fois de plus gagné à se taire..
gAZi bORAt