Par rapport au commentaire précédent, je pense qu’il faut insister sur un point : l’abandon de la croissance comme dogme n’implique pas nécessairement une baisse du niveau de vie. Il s’agit simplement de réfléchir autrement. Comme l’indique l’article principal, contrairement aux lois physique que je qualifierai « d’immanentes », les lois économiques sont fixés par les hommes.
Au lieu de nous infliger des souffrances (depuis 30 ans) pour suivre les règles, changeons les règles !