"L’aspect en trompe-l’oeil" concernant la réforme de l’Université est un qualificatif qui me convient tout à fait.
Pour avoir participé durant un mandat à la gestion (volet recherche) d’une université moyenne et mesuré la complexité administrative de la tâche, le nouveau partenariat public-privé qui constitue l’un des points importants de la réforme du 10 août m’est toujours apparu extrêmement flou dans sa définition...Il est pourtant sensé apporter un "souffle nouveau".
Les blocages soulignés par l’auteur sont les premiers signes des difficultés non prévues par la réforme quand on aborde le sujet : domaine public - domaine privé. Le résultat pourrait conduire à un fatras assez désolant. Il fallait une réforme au pas de charge comme c’était dans l’air du temps, plutôt que d’approfondir avant de proposer...le bilan à venir pourrait être sévère.