il me semble qu’il y eu l’affaire du sang..
puis l’affaire des vaccins, avec une incitation à vacciner massivement sans avoir tous les éléments en main !!
le prèlevement d’hypophyses douteuses, signée de la main d’un grand professeur éminent ... qui n’était pas au courant ??!! vous remarquerez que en cas de problème, la personne à qui on décide de faire porter le chapeau en haut lieu, se retrouve tres seul et bouc émissaire, système typiquement français caractérisé par sa lacheté et par des huiles en haut lieu qui "achent" un type à la foule et à la justice pour calmer les choses...
Lucrezia trouvait que l’on exagérait, faut il lui rappeler les patients brulés par des rayonnements mal réglés, lors encore on nous explique calmement que l’appareil en service était mal réglé, comme si un garagiste vous disait sérieusement, excusez moi j’ai oublié de régler les freins de votre voiture....
je ne parle pas des maladies que l’on a désigné d’un beau nom noso quelque chose pour masquer le manque d’hygiène, d’organisation et de cohérence de certains hopitaux....
Encore une preuve que nos grands systèmes gérés par des tetes multiples et des outils ou des membres non connectés les uns aux autres peuvent aboutir à des aberrations de plus en plus criantes...
Mais des qu’un nouveau "virus" sort d’on ne sait ou alors la on mobilise des moyens gigantesques pour s’attribuer le marché.... et c’est bien le problème, ce sont des gestionnaires, des financiers et plus des medecins qui tiennent les rennes... l’histoire est commune à de nombreux secteurs malheureusement....
nous sommes arrivé au règne de la quantité et des comtables, et on ne peut pas faire rimer qualité avec gestion de bout de chandelle ; on ne gère pas des hopitaux comme des usines d’emballage de mais !!
dans notre domaine la presse et le pré presse c’est ansi qu’il ne reste rien de la qualité qui animait les opérateurs de retouche image eux aussi victimes d’une gestion comptable etriquée....
la seule différence, c’est que des journaux mal retouchés ne choquent pas grand monde, alors que dans le cas des hopitaux on gère le malade comme un produit entrant et sortant...