L’auteur écrit : ""Bref, en employant très exactement les méthodes qu’ils souhaitent décrier..."" C’est exactement ça : des arguments de gamins pour une politique de gamin.
J’aimerais raconter à Carla cette histoire : Du temps de Mussolini il circulait en France (?) une bonne blague sur les italiens (à l’époque, les macaronis étaient les rosbifs d’Italie) :
"Combien y a-t-il de macaronis en Italie ? Réponse : un seul, tous les autres sont des nouilles". Mussolini n’avait pas besoin de talonnettes. Quelqu’un voit-il une autre différence à lui signaler ?