Comprenons-nous bien. Il ne s’agit nullement pour moi de discréditer l’écologie. (Je triais mes déchets bien avant que l’on ne commence à parler de recyclage.) Mais ce combat passe également selon moi par le combat contre sa caricature. De même, s’il est évident que notre système économique produit des effets pervers, ceux-ci, aussi importants soient-ils, ne peuvent pas être présentés comme la substance de la chose. Et vous avez raison de pointer l’ironie du sort : l’écologie piégée par sa propre caricature est devenue un argument pour vendre des voitures...