@L’auteur
Si ce que vous dites est vrai, cela veut dire que Mme Sebire a refusé d’être anesthésiée par des médicaments, cad de devenir une sorte de zombie comme en produit trop souvent notre usine à médicament qu’est la médecine en France aujourd’hui (voir entre autres www.agoravox.fr/article.php3 ).
Du reste, je pense que sa souffrance était surtout morale. Qu’elle soit restée fidele à ses convictions malgré son état, mérite le plus grand des respects.
Respect que je ne trouve pas vraiment dans votre article, Mr Icks Pey. D’autant qu’il y manque ce qui est sous-jacent dans tout votre article et qui est m’apparait être : le refus de considérer le probleme de la fin de vie. Votre tentative de décridibiliser Mme Sébire est assez affligeante. Elle mérite bien mieux que cela.