Dans toute cette histoire c’est encore le contribuable français qui va devoir payer pour réparer les conneries des autres.
C’est très pratique notamment pour Éric Breteau et sa compagne qui pourront ainsi recommencer ce genre de programme "humanitaire". Et en toute impunité, puisqu’ils le disent eux même, "ils n’ont rien à se reprocher".
Avec tout ça, ce n’est pas demain que notre pouvoir d’achat va augmenter.