@L’auteur :
La crise actuelle (dont la mèche était des banquiers qui ne s’inquiétaient du remboursement de l’emprunt, avec des taux de 13% au bout de 2 ans), ne méritait pas une analyse de si haute volée.
Ou, si vous préférez, je trouve votre article un peu trop neutre moralement.
Il me semble que le surcroît de libéralisme américain (déréglementation) doit se payer d’une plus grande intégrité là où la réglementation (française par exemple) pare aux plus grands abus. Or, l’on constate (mais c’est inhérent) que mettre le système financier au risque (ou bon vouloir) de la morale est générateur de crises.