J’espère que le dernier mot reviendra à M Jacques Saadé, le patron de la CMA-CGM que j’ai connu (de loin) un temps. Je sais qu’il préférera mille fois payer de sa poche (il en a les moyens et le coeur) que risquer la vie de ses marins. Et qu’il saura faire jouer ses contacts en Chine, en Libye, en Syrie et en Egypte pour négocier. Autant qu’on puisse négocier avec des pirates.
Dans tous les cas de piraterie maritime jusqu’ici, on n’a jamais utilisé la force (je ne parle pas du GIGN sur le bateau de la SNCM pris par les syndicats entre Marseille et la Corse). C’est techniquement très difficile, très risqué (ces gens là ne sont pas des rigolos), bref très déconseillé.
On verra.