Les Algériens et les Marocains ont expérimenté les élections démocratiques. Le résultat ne fut pas concluant : les islamistes furent élus dans un cas et connurent un regain de faveur dans le second cas.
Il en va de même en Turquie, en Palestine et au Liban. Comme si la culture des musulmans était allergique à d’autres choix de gouvernance.
L’islam est-il compatible avec la laïcité, la démocratie, l’égalité de droit de l’homme et de la femme et des valeurs qui fondent nos démocraties ?