Article salutaire, et judicieusement écrit !
Pour ceux qui y voient de la vulgarité (comme l’autre truffe de Weinstein), on rappelle que la violence est dans les actes, même et surtout bien enrobés dans du papier de soie et les discours écrits par les émules de Deroulède ; pas dans la saine dénonciation de leurs dégats.
Faut-y qu’on vous l’emballe, cher Weinstein ?