@ l’auteur,
Vous avez vos raisons pour ne pas vous accommoder de la décision du Conseil d’Etat : "La raison invoquée était son refus d’assimilation en raison de sa pratique radicale de sa religion (musulmane) et de sa conception de la femme au sein de la société qui irait contre les valeurs fondamentales de la République française, notamment la laïcité." ; mais admettons que cette insitution ait accordé la nationalité française à cette dame : cela signifierait alors que la République française accepte que, sur son sol, les droits fondamentaux du citoyen soient bafoués ouvertement, ce qui ne manquerait pas d’avoir valeur d’exemple. Rien n’empêcherait certains époux peu satisfaits des lois françaises d’imposer à leurs conjointes ou à leurs filles une soumission totale et le port de la burqa, quand bien même elles ne seraient pas d’accord ...