L’auteur met fort bien en exergue le moyen de gouvernance privilégié à l’heure actuelle, tant des entreprises que de nos société : la Peur.
Peur d’être mis à l’index, de manquer, de la maladie, de l’autre qui est différent, d’être marginalisé ...etc... etc..
Ainsi, ceux qui n’ont presque rien, sinon les minimums sociaux, ont peur de perdre le peu qu’ils ont, dont le RMI, géniale invention de nos gouvernants afin d’ empêcher "les manants" d’aller dans la rue pour y réclamer une société qui ne fasse pas autant la part belle à ceux qui ont déjà tout, et le superflu ...
Maintenu dans la survie et dans la peur de perdre ce peu, l’individu reste dans un état de soumission à l’ordre établi.