Les vêtements rafraîchissants, un petit plus pour les athlètes qui en disposeront.
Mais l’essentiel reste ailleurs, et plus précisément dans les "soins" apportés aux compétiteurs par leurs entraîneurs et leurs dévoués médecins. Des soins étranges qui remodèlent un athlète en quelques semaines. Apprécier, à cet égard, le "clean" nageur français Alain Bernard qui s’était sculpté, à force de musculation et de longueurs de bassin, une silhouette de costaud des Batignolles au long des années de compétition. Mais rien à voir avec son explosion morphologique de l’année dernière et l’émergence de records inaccessibles jusque là. Peuchère : ce brave Alain a doublé de volume. C’est bien simple, a dit à la télévision une admiratrice de son village natal en croyant lui rendre hommage, "il a changé brusquement".
Eh oui, "brusquement", tout est dit en un seul mot. Allez, ne faisons pas de procès à notre nageur, après tout, il n’a probablement fait que suivre la même préparation que ses adversaires. Et puisque l’on vous dit qu’ils sont cleans...