Notre vocabulaire moderne, nos paroles, nos discours libèrent-ils vraiment les hommes ?
En ne suivant plus que les vaines valeurs actuelles, l’acheteur est devenu plus aveugle de ce qui se met peu à peu dans le monde et à son insu, oh bien sur il y a encore le journal pour tenter de le rassurer.
La liberté ne devrait pas toujours se mériter à ce que l’homme gagne d’abord en quantité, en attachement de plus, car sinon il en finirait par ne plus guère trouver la liberté de s’exprimer autrement en société, par laisser vivre autre chose.
Lorsqu’on persiste à s’accrocher aux illusions, alors on lutte davantage contre le climat, la nature, la vie, c’est écrit partout dans les écritures, mais le monde moderne ne veut pas du tout s’en repentir avant.
Je ne crois pas que la radicalisation marchande de tout un monde, puisse toujours bien rendre service
à l’homme, un temps peut-être de grande illusion et servitude, déjà trop de vanité et de désolation.
Qu’un sang même s’il est impur n’abreuve pas toujours les sillons.