En effet l’industrie du luxe comparativement à l’autre est marginale. Les montants unitaires de certains produits sont certes élevés, mais leur diffusion finalement réduite (au public argenté qui a les moyens) interdit de les comparer à une industrie de consommation de MASSE, celle qui à la fois distribue du revenu aux salariés, des dividendes aux actionnaires et la fortune à une tout petit nombre d’entre eux dont la vie s’étale dans des magazines destinés à faire rêver des esprits faibles, éventuellement envieux, mais jamais dotés de la critique étique qui s’imposerait face aux inégalités criantes.