@ Internaute
Vous avez raison : un discours de vérité requiert du courage pour être délivré, et une certaine abnégation pour être accepté.
Apparemment, ces deux qualités manquent à nos compatriotes, tant candidats qu’électeurs. Pourtant il faudrait bien :
1. Rétablir la noblesse de l’impôt républicain, très progressif, et payé par tous (sauf les précaires)
2. Rechercher le bon usage de l’impôt plutôt que d’en faire un épouvantail électoral, en visant les grandes dépenses de prestige de l’Etat (défense) et celles issues de cette loi de 1973, les "service de la dette, devenue le 2è poste du budget de l’Etat avec 45 milliards € "perdus par an.
3. Mettre un chiffre sur les "privilèges" en cessant d’y inclure le facteur du coin alors que le Sénateur octogénaire somnole sous les ors et de grands dirigeants s’octroient l’équivalent de 50 vies économiques en peu de temps (et sans rien assumer de surcroit)
4. Cesser d’abuser de la gratuité des soins pour la seule raison "qu’on y à droit" oubliant l’esprit même de la solidarité, qui ne doit compenser que l’infortune qui s’impose à nous, et pas payer la médecine de confort, ou des allocations familiales aux foyers aisés (dégressivité de l’aide)
5. Admettre un revenu mensuel de retraite entre 1000 à 3000€ maxi, pour tous. Pas un luxe. Mais sa fortune, on a pu se la bâtir avant quand on gagnait "bien plus". Et vivre avec 650€ par mois est quasi inhumain. C’est la solidarité entre seniors (qui n’existe pas non plus apparemment)
Etc...
Donc : lucidité, courage et partage. Tout un programme.