JONAS à : Olivier Cabanel,
Merci pour votre article qui me permet une nouvelle fois de démasquer M. Krolik.
Au plus il s’exprime au plus il se discrédite ! Le comble a été atteint sur NaturaVox, lorsqu’il a écrit qu’il dormait tranquille avec ses pastilles d’iode…. !
Sa dernière argumentation était une relativisation basée sur le nombre de mineurs morts pour la production d’électricité thermique par ce combustible, la production électronucléaire en n’ayant fait moins pour l’instant ?
Il est évident qu’il est beaucoup plus facile de dénombrer les morts dans une mine, que ceux qui résidant parfois à des centaines de kilomètres d’une centrale nucléaire.
Le démantèlement de ces sites sera un énorme problème pour les générations à venir et les catastrophes naturelles imprévisibles, risque de nous rappeler leurs existences.
Enfin pour conclure :
La leçon de Harrisburg
"Après 2 835 incidents survenus dans les 72 réacteurs en service aux États Unis, l’accident (de gravité n° 9) de la centrale de Harrisburg alerte les consciences. On s’aperçoit, aujourd’hui, que les techniciens en savent bien peu sur le comportement d’un réacteur soumis à des conditions inhabituelles de température et de pression. Tout, dit-on, est à revoir. Les rapports fusent. Est-ce suffisant pour rassurer les populations ?
Le cauchemar s’est dissipé. Et après trois semaines de lutte, on est enfin parvenu à refroidir le cœur de la centrale nucléaire de Three Mile Island en Pennsylvanie. Les petites bourgades des alentours, Harrisburg, Middle Town, Goldsboro, réapprennent doucement à vivre. Mais à la suite de cet accident qui a failli tourner à la catastrophe nationale, l’Amérique s’est aperçue que tout n’allait pas pour le mieux dans le monde nucléaire. Elle a constaté avec effroi les imperfections, les incohérences, les lacunes du programme nucléaire".
Ce n’est pas avec des personnes comme Krolik, que nous tirerons les leçons des derniers accidents, puisque ce ne sont des " incidents ? ". Il n’y a donc aucunes leçons à tirer… !
Il en est du nucléaire comme de l’Armée, nous avons toujours une guerre de retard !
Bonne nuit.