Ce n’est pas un lapsus, mais un jeu de mot qu’il est fort surprenant de devoir préciser...
Quant aux les favélas bréziliennes, avec tout le respect que j’ai pour leurs habitants (Mais oui !), elles ne sont pas à, ma connaissance subventionnées par un Etat Providence. Toute la différence est là...
Par ailleurs, recevoir de l’aide matérielle, une allocatrion ou une subvention implique, au delà de la reconnaisance minimale qu’il est socialement nécessaire de manifester,de se donner aussi personnellement les moyens de s’en sortir. Je connaîs plusieurs jeunes gens, issus de quartiers dits « chauds » qui ont réussi à prendre leurs detins en main tout simplement en changeant d’attitude d’esprit. C’était pas topujours simple, mais ils y sont arrivés car ils ont commencé à renoncer à céder à la facilité du misérabilisme. Ce genre d’expériences fait réfléchir ceux qui veulent bien se poser des questions en dehors du champs des discours convenus et du politiquement correct...