Mettre du baume sur une plaie ouverte ou prendre de l’aspirine quand on a la grippe ne soigne pas la maladie. Le corps social est « malade » dans sa tête et tous les milliards d’€ du monde n’y changeront rien.
Les pouvoirs politique et économique utilisent aujourd’hui la peur pour se maintenir voire se développer. Parler d’état d’urgence est dans cette logique.
Qui nous appelle et nous incite à une vraie reflexion sur ce que nous sommes, ce que nous voulons être tenant compte de nos réalités d’aujourd’hui ? Le vide, le néant. On va me dire propos d’intello. Non, simple bon sens. Est ce qu’une part du « succès » de l’Islam ne vient pas de son discours structurant ? Je m’interroge ?