Nicolas, j’ai écouté Finkielkraut sur Europe 1. Il ne s’est pas excusé. Il a présenté les excuses de « l’autre », celui qui parle dans le « puzzle » (l’interview). Tout en précisant que cet « autre » n’était pas lui.
En gros, Alain Finkielkraut, le vrai, ne s’est pas excusé.
Etant donné que ce n’est pas lui qui s’est exprimé, mais « l’autre », Elkabach lui a alors demandé s’il allait déposer une plainte contre le journal israélien. Non, fut la réponse du philosophe.
De peur qu’on sache que « l’autre », c’était bien lui ?