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Marc Bruxman 23 décembre 2008 19:57

Article très intéréssant. Et je rejoins effectivement le fait qu’un trop grand nombre de langues peut nuire au bon fonctionnement d’une communauté. Surtout lorsqu’il n’y a pas de langue commune acceptée. 

En soit, parler plusieurs langues, oui c’est une richesse, mais à une condition qu’il y ait dans le groupe une langue commune comprise et parlée par tous. Ce n’est pas encore le cas en Europe et les gouvernements freinent des quatre fers. Pourquoi ? Parce que la langue est le dernier et le seul avatar vivant du nationalisme. Enlevez la barrière de la langue et la plupart des frontières d’europe n’ont plus lieu d’exister. A ce moment la, on rentrerait de plein pied dans une europe fédérale que nos gouvernements ne veulent pas vu que cela signifierait qu’ils n’existent plus. 

Pourtant ce mouvement est inévitable, la mobilité intra-européenne s’accroit, les jeunes voyagent, s’expatrient, etc, ... La crise économique et la bulle de la dette publique vont forcer les rapprochements entre états et administrations voir même les fusions d’administrations car cela sera le seul moyen de maintenir un certain niveau de services publics. 

L’intégration européenne est inévitable à terme et la mise en place d’une langue officielle comprise par tous (que l’on pourrait tirer au sort si l’on veut éviter les disputes (si c’est le Hongrois on va en chier pour l’apprendre !)). 

Je sais que certains vont préférer parler de régionalismes et de trucs comme cela, mais le maintient de notre prospérité vaut bien quelques petits sacrifices. (Je vais me faire flammer, j’assumes). 


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