Les français sont sortis de 5 années Jospin où le partage du travail et des richesses avait entrainé une croissance inédite en europe à l’époque.
Ils ont dit : peu importe qu’on soit malheureux à condition qu’on voit des plusmalheureux que nous.
Avec Sarko, ils sont servis : ils seront toujorus plus malheureux, mais comme le nombre d’encore plus malheureux augmente aussi, c’est super.
Le malheur des autres semble préférable au bonheur partagé.
Il faut s’y faire.