absurde dit : "Sarkozy est devenu le président d’un électorat qui lui ressemble, et dont par conséquent il procède.
Nous sommes dans le jeu de la projection, et cela me paraît évident dans un monde où l’image a tellement d’importance. Ce président ressemble à ceux qui l’ont élu, il est le produit du système qui l’a mis en place, il est en même temps le symptôme le plus criant de la crise de société dont il procède."
J’en suis bien d’accord avec lui et ce qui en découle c’est que la démocratie sera mise en danger non par son ou ses représentants mais par l’inertie et la complicité du corps social.