Bonjour
J’aime beaucoup cette phrase de Caroline Fourest : "Autant l’avouer, il y a des moments où l’on se prend à regretter le temps où il fallait au moins prendre sa plume, rédiger une lettre, payer un timbre et aller à la Poste pour vous donner des leçons...".
Ah le bon temps où les critiques étaient obligées de passer par le journaliste visé par celle-ci pour être validées où... plus généralement misent à la poubelle !
Ne passaient dans le courrier des lecteurs que les remarques anodines, très rarement les remises en cause d’un article. Parfois un droit de réponse minuscule avait droit de citée au fin fond des pages sportives...
Quelle époque bénie !
Radix