que de fautes,
que d’approximations, d’accusations légères, de sous-entendu hasardeux,
que de pistes explorées, abandonnées, reprises,
de paragraphes-pavés, de phrases confuses...
bref, je suis venu, j’ai tenté de le lu, mais je suis repartu.
Y’a pas, c’est du Morice pur jus.