Chère Sophie : Je crains qu’il n’y ait dans la même phrase de votre texte la chose et son contraire :
"Le vrai problème à résoudre n’est pas celui de nouvelles gouvernances ou de contrôles accrus, c’est celui de la responsabilité individuelle, d’une modestie retrouvée. La seule vraie question qui va faire trembler non seulement les entreprises mais les Etats : c’est le partage des richesses créées."
Il semble pourtant évident que le partage des richesses n’ira pas de soi sans de nouvelles règles de gouvernance !
Bien à vous, et bienvenue au club.