Facebook est, certes, un réseau social à but lucratif. Utilisant une technologie propriétaire, vendant un espace publicitaire, ce n’est pas l’exemple même d’une boite philanthrope. Google non plus, d’ailleurs, et pourtant on l’utilise tous.
Reste qu’il est parmi les reseaux sociaux celui qui totalisent le plus d’adhérents. Il y a le MSN, mais il me debecte, parce que je vois tous les ados passer des journées entières dessus à s’echanger des banalités pour dire qu’ils y sont. En plus, je ne porte pas vraiment le Micro$oft dans mon coeur.
Voilà, je me suis fait ma vitrine publique sur Facebook. Ce n’est pas que j’aime particulierement, mais tous les jeunes, que je fréquente, y sont. A commencer par mes enfants. A 50 ans, j’ai l’impression d’en être le doyen. Mais ça me reproche du monde des jeunes, je comprends un petit peu mieux leur passions et leur motivations. Sans dire que dans mon pays natal, avec lequel je garde d’etroits contacts, tout le monde y est - j’y rencontre des gens que j’ai perdu de vue depuis des décennies. J’y suis donc prêsque par obligation, tout en êtant que moyennement emballé.