Je n’ai reconnu aucune femme dans les portraits proposés, aucune femme vraie et réelle.
Peut-être parce que je n’ai rencontré que des individu(e)s, qu’il n’existe en fait que des individus, et pas les femmes, et encore moins la femme.
A partir du moment où on conçoit des collectifs même encore un peu divers, le passage au collectif singulier finit par s’imposer. La faute est dans le premier pas.
Il n’y aura bientôt plus assez de jours dans l’année pour les journées de ceux-ci ou de ceux-là.