A l’auteur.
10 fois le mot marché dans votre article qui parle de "crise" qui empirerait chez nos frères de l’Est, mais pas une seule mention du mot "peuple" (il faut attendre Alpo47).
"Les Marchés" ? Vieilles lunes dont les monstrueuses instanciations sont subitement parties en fumées, aussi certainement que les milliards de biftons et de cash burnés dans le grand Haulocotéo financier... Même pas eu besoin de trois unités de Spetsnats.
Votre article, dans la forme et sur le fond, manque d’esprit critique et de liberté de ton.
Maintenant... malheureusement, la "crise", elle va bientôt pousser sa gueule de Léviathan.
Sur l’Europe, Alpo47 a raison : de quelle Europe parle-t-on ? Du volumineux traité de commerce qui a livré l’Europe à la BCE et aux fonctionnaires ? De l’empire de Zébulon ou de l’Europe des Nations ?
A Philbrasov : J’aime votre nostalgie... Mais "la France" a vécu, écartelée-violée-vendue-perdue-oubliée. A la rigueur, la France survit encore comme une région de l’Esprit, sans distinction de race, de religion, de pays, de couleur, de condition.
Fils de vieux paysans et héritier direct de la république des savants, pétri et fort des visions idéalistes des hussards noirs de l’Ecole Publique de l’ancienne France, je pense que l’Europe n’est pas une idée contingente, encore moins un destin asservi à quelques problèmes de fric.