Très bon texte. On se demande pourquoi il n’a pas été posté avant... Le problème est moins la question de l’argent en soi que celle des principes et des privilèges acquis par une certaine classe de population. Un succès commercial vous fait accorder un certain nombre de droits venus de nulle part, d’on ne sait où, marqués dans aucun code de loi ?? Il est évident que cela crée alors ensuite un décalage entre le peuple et les artistes qui ne se comprennent plus. Donc l’art meurt au final. Et les exploités sont toujours les mêmes, ceux d’en bas.
Il ne faut pas mélanger les combats : il y a le principe du piratage qui en soit est condamnable. Et il y a les privilégiés qui ne sont condamnables que s’ils viennent mettre leur nez là où ils n’ont rien à faire puisque coupés du peuple par un contrat moral invisible.