Je n’ai pas fait de développement sur la sociologie des auteurs, pourtant c’est sûrement un bon sujet. Il y en a un bon nombre qui font la perruque chez leur employeur, notamment quand l’employeur est l’Etat, pour un bénéfice personnel et privatisé et il y en a d’autres qui produisent en tant que salariés des oeuvres, notamment des brevets industriels, pour le seul bénéfice de l’entreprise. Sur les questions de légitimité des droits d’auteur : sortons de l’image myhtique de l’auteur écrivain qui vivrait uniquement de sa plume et qui produirait une oeuvre à partir de rien. J’ai sans doute caricaturé en parlant d’avènement d’un collectivisme culturel, mais enfin la réalité des auteurs sûrement un peu différente de l’image d’Epinal que l’on ne cesse de colporter.