@ l’auteur :
Lorsque vous écrivez :
- "Chaque élément du film est donc choisi pour sa puissance symbolique"
et développez ensuite.. cela m’interroge. Car, où se situe la limite entre l’utilisation de "symbole" censés "concentrer" une certaine réalité et la réduction de celle ci à une pure caricature ?
Car la caricature, difficile apparemment d’en sortir.. Lorsque, plus loin, vous écrivez :
- "tirant leur certitude d’une croyance religieuse ancestrale qu’ils placent au-dessus de tout : la femme est « une pute » si elle n’est pas soumise à l’homme"
On reste encore dans la caricature.
Celle qui voudrait que ces "jeunes mâles" soient tous guidés par une pensée religieuse spécifique.. et non pas par la "cuture du porno" qui, elle, est universelle, donne un rôle bien particulier et très limité à la Femme... et s’accorde très bien, à la fois avec la laïcité, mais aussi avec les doctrines libérales..
gAZi bORat