Nous sommes dans l’ère des dix commandements où la glorification fanatique précède la condamnation sacrificielle avant de tout oublier et de recommencer.
Toute problématique trouve une raison et une finalité dès qu’un visage ou un logo correspond au portrait robot que se forge l’opinion publique, peu importe les faits ou les hypothétiques récidives.
Nul besoin d’imaginer des complots téléguidés par des puissances invisibles pour procéder aux jugements éternels et aux pardons administratifs.
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