Même si cette expérience ubuesque venait à sévir, l’échange de fichiers numériques continuera ne fût ce qu’à coup de clefs USB dans les cours d’écoles et cafeteria d’entreprises. Allez pour être plus pratico pratique, à coups de téléphonnes bluetooth.
Méconnaissance ! Comme l’explique si bien cet article.
Personne ne semble s’étonner du nombre monumental de titres qui sortent depuis que les échanges internet existent. C’est venu au point que même les hyper marchés ont fini par s’y intéresser. Il me semble là que certains scient la branche sur laquelle ils sont assis parce qu’elle ne donne plus assez de fruits à leur goût. Ils vont se faire mal et devraient espérer eux même, pauvres "cultivateurs", que "ça ne marche surtout pas et que les internautes continuent de télécharger et.. d’alimenter les envies de consommation".