Obama n’a pas « tué » Hilary Clinton - et même s’il l’avait fait les Etats Unis resteraient ce qu’ils ont toujours été - mais il a bien « laminé l’Europe », ne vous en déplaise.
Sous ses faux airs de cow-boy nonchalant, il a jeté la zizanie sur le vieux continent, a parlé des menaces afghanes ou autres, mais n’a jamais dit un seul mot sur le conflit israélo-palestinien qui pourrit la planète depuis si longtemps. Il a définitivement fait main basse sur l’OTAN qui désormais agira à sa botte et désire de « tout son poids » faire entrer la Turquie dans l’Union Européenne déjà bien malade de « son » Angleterre.
Enfin et surtout par un immonde tour de passe passe, il a réussi, avec comme toujours la complicité de l’english, à faire payer une grande partie des dégâts financiers et sociaux occasionnés par les seuls Etats Unis et Angleterre, par les peuples européens et non par les vautours de ceux-ci.
Alors, qu’il jette des bananes sous les talons d’Hilary ou pas, on s’en fout. Obama, et le monde entier ne mettra pas longtemps pour le constater, est un « américain » du type de tous ceux qui l’ont précédé, c’est à dire le chef d’une nation qui veut diriger à sa guise la planète, donc la ruiner.