Je commençais à être d’accord avec l’article jusqu’à ce que j’arrive au dérapage idéologique où l’auteur s’insurge contre l’accumulation de capital dans les familles. Dés lors, sa vision de l’impôt n’a rien de social ni d’économique mais sert uniquement à satisfaire des valeurs stupides comme l’égalité pardessus tout. Soyons tous égaux dans la misère mes frères.
Personnellement je suis pour l’enrichissement des familles et la récompense à ceux qui se bougent le cul et tirent la société vers le haut, c’est à dire les chefs d’entreprise (je ne parle pas des fonctionnaires qui parasitent le CAC40). Il faut un impôt sur le revenu progressif et qui monte trés haut (85% par exemple) mais que le principe de base soit qu’on favorise l’enrichissement des familles. En contrepartie on doit supprimer tous les impôts sur le capital dont l’origine est uniquement l’envie et la satisfaction de punir autrui pour avoir mieux réussi dans la vie que soi.
Il faut supprimer l’ISF, l’impôt sur les sociétés et reporter les charges patronales sur le salarié, bien entendu à salaire net égal. Il faut mettre les versement de bénéfice aux actionnaires du même côté comptable que le versement des intérêts aux banquiers. Il faut privilégier l’épargne de façon à ce qu’elle serve à financer l’économie au lieu que ce soit le crédit qui la finance. C’est un vaste programme de salut public qui nécessite d’abord de changer de mentalité et d’oublier cet état d’esprit de mendiant jaloux qui date de la révolution française.
L’impôt doit être visible partout où il est prévelé. C’est la seule
façon pour que le public finisse par se dégoûter de ces députés qui ne
font que les augmenter sans contrepartie et nous endetter.