J’ai vu l’émission, et effectivement le sujet c’était sa plastique et non son job.
Les femmes journalistes sont dorénavant choisies sur leur plastique irréprochable, ce qui permet de faire avaler la soupe tiède qu’on veut nous faire passer. Le journaliste s’enfonce dans le quelconque, sinon dans la médiocrité. Le contrôle du pouvoir est à l’oeuvre et la peopolisation sert parfaitement ses intérêts.