Elle est belle, elle est intelligente et elle n’est pas rentrée dans le jeu totalement abruti de Ruquier et consorts.
L’auteur aurait mieux fait de reprocher le ton carrément idiot de l’interview plutôt que de critiquer les réponses faites intelligemment à des questions pourries.
Villach a manifestement un souci avec les femmes qui, en plus d’être belles, se piquent d’être futées.